Comme à chaque brève qui parle de résultats financiers, on commence par expliquer pourquoi NVIDIA est déjà en 2017. Le calendrier fiscal des entreprises n’a rien à voir avec notre calendrier civile, il ne commence pas au 1er janvier, mais à la date de création de la firme (ou de son entrée en bourse) et c’est pourquoi le caméléon peut déjà dévoiler les résultats de Q1 fiscal 2017 que voici :
| Q1 FY 2017 | Q4 FY 2016 | Q1 FY 2016 | Différence sur les trimestres |
Différence sur les années |
|
|---|---|---|---|---|---|
| Recette | $1305 Mio | $1401 Mio | $1151 Mio | -7% | +13% |
| Marge brute | 57,5% | 56,5% | 56,7% | Imotep | Tep |
| Dépenses d’opérations | $506 Mio | $539 Mio | $477 Mio | -6% | +6% |
| Revenus d’opérations | $245 Mio | $252 Mio | $176 Mio | -3% | +39% |
| Revenus nets | $196 Mio | $207 Mio | $134 Mio | -5% | +46% |
| Valeur de la part | $0,33 | $0,35 | $0,24 | -6% | +38% |
Alors que le 28nm a bien trainé, NVIDIA s’en sort toujours très bien et même mieux que prévu. Leurs quatre branches (Gaming, Auto, DataCenter, Virtualisation) se portent bien et avec l’arrivée de Pascal les pronostiques sont plus que positifs, Jen-Hsun prévoyant déjà de ressortir la veste en cuir pour annoncer $1,35 milliard de recette sur Q2 FY 2017. Le caméléon dépense un max en recherche et développement, mais ça paie et la marge brute continue à évoluer. Il ne reste qu’à attendre le Computex et voir si AMD arrive à faire son grand retour pour voir si le 16nm FinFET et Pascal arriveront à assurer d’aussi bons résultats au géant vert sur l’année qui vient.
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