Avec ResearchKit, Apple donne aux chercheurs la possibilité d’intégrer des millions de cobayes à leurs recherches médicales, en conservant un protocole fiable. Mais les développeurs qui souhaitent utiliser ResearchKit devront respecter des normes, en particulier de transparence sur l’utilisation des données collectées et sur les objectifs de la recherche.
En marge de la présentation de sa première Apple Watch, Apple a dévoilé la semaine dernière un nouveau programme orienté sur la recherche médicale, ResearchKit, qui viendra compléter le service HealthKit qui centralise toutes les données de santé collectées par Apple depuis ses appareils et applications. Distribué en open-source (à partir du mois d’avril), ResearchKit est un framework qui permet aux développeurs de proposer des programmes de recherche médicale auxquels peuvent participer des millions d’individus, en tirant profit des capteurs présents sur l’iPhone ou l’Apple Watch.
Pour donner le coup d’envoi du service, Apple s’est associé à des institutions hospitalières américaines pour créer cinq premières applications, dédiées à la recherche sur l’asthme, la maladie de Parkison, le diabète, le cancer du sein et les maladies cardiovasculaires. « Avec des capteurs avancés tels que l’accéléromètre, le baromètre et le gyroscope, l’iPhone fournit aux applications ResearchKit dse données qui sont objectives et incroyablement précises« , vante la firme de Cupertino. « Ce sont des données quantitatives de grand volume auxquels les chercheurs en médecine n’ont jamais eu accès auparavant » :
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