High-Tech

iBuyPower s’apprète à sortir un PC Gaming assez WTF, le Revolt 2

En 2013, iBuyPower sortait le Revolt. Ce PC au look soigné, mais au format relativement standard, faisait entrer du matos pour joueur dans un tout petit boîtier. Sur base de mobale mini-ITX et alimentation SFX, c’était peut-être la première Steam Machine digne de ce nom, mais avec un billet d’entrée qui avoisinait les 1000€. Vu le tarif demandait, pour la seconde version Revolt 2, ils ont gardé l’idée du mini-ITX, mais ils sont allés beaucoup plus loin au niveau du châssis pour sortir ceci :

ibuypower revolt2

On aimera ou pas, mais ça a le mérite de sortir des sentiers battus. Le boîtier est cette fois plus grand, avec une mobale tête en bas, un AIO (120, 140, 240 ou 280mm) pour refroidir le CPU et surtout une alimentation ATX pour filer du jus d’électron à l’ensemble (placée devant la carte mère). En collant la carte mère dans ce sens, ça permet de jouer sur le placement de la carte graphique et de profiter du design de cette dernière à travers la vitre placée sur le haut du boîtier (en plus de lui balancer de la lumière grâce à des rampes de DEL RGB). Une image expliquant souvent mieux que du texte, voilà ce que donne l’agencement interne :

ibuypower revolt2 ouvert

Le Revolt 2 fait approximativement 457 x 228 x 381mm pour un poids compris entre 8 et 11kg en fonction de l’équipement embarqué. Pour le stockage, vous trouverez un emplacement 3,5″ à l’intérieur accompagné d’un 2,5″ et la façade comporte une trappe donnant accès à un autre 2,5″, histoire de pouvoir mettre un SSD en valeur au besoin. Ils commenceront à le vendre en janvier (certainement à la suite du Computex) pour un tarif inconnu, mais qui va certainement piquer. La grande question sera de savoir s’ils vendront aussi le boîtier nu, car il pourrait en intéresser plus d’un.

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A propos de l'auteur

Sébastien T.

Passionné depuis toujours par l'informatique et les jeux vidéos, je transforme ma passion en expertise. J'utilise quotidiennement les outils et systèmes Microsoft. Je ne délaisse pas mon côté ouvert, notamment via l'utilisation des OS Debian.

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